Viens voir son professeur.

Aprés avoir quitter le cour Angélique s'était rendu dans sa salle commune, une violente migraine lui martelait les tempes, ce laissant tombée dans l'un des canapés elle s'endormie tout de suite, tout les résent évenement qui lui était arrivée l'avait completement vidée de sa force, lorsqu'elle ce reveilla plus tard, elle vit qu'elle avait dormit pendant prés d'une heure pensant que le cour était fini Angélique se leva et alla dans le bureau du professeur et frappa a la porte

-Puis-je entrer?

Hazel venait à peine d'entrer dans son bureau lorsqu'Angélique frappa à la porte.
Entrez, Miss Black.
La voix sèche, elle s'assit derrière son bureau sans inviter son élève à en faire autant.

Poussant la porte Angélique entra dans le bureau.

-Bonjour professeur.

Murmura t-elle sombrement ferment la porte derrière elle Angélique attendit que le professeur ce mette a parler.

hj: excuse moi pour le retard

HJ : Ce n'est rien... Tout vient à point à qui sait attendre

Hazel jaugea Angélique froidemment.
Alors, Miss... Peut-être pouvez-vous me dire ce que vous pensez de votre comportement lors de mon dernier cours ? Pensez-vous qu'il soit respecteux, ou même acceptable, d'agir comme vous l'avez fait ? Pensez-vous que je fasse mon cours pour des élèves qui manifestent ce genre de désinvolture ?

Evitant le regard du professeur Loncourt Angélique s'en voulait, mais elle n'arrivait pas a se remetre de la mort de Mathieu et elle senblait perdre un peu la tête.

-Je vous pris de m'excusez professeur je n'aurais jamais du agir comme je l'ai fais, s'était stupide et puirile de ma part. Je ne tiens pas a nier mon comportement et je ne me défilerais pas pour les sancions.

Portant sa main a son cou elle serra la petite médale en force d'elfe qui pendant a son cou que lui avait offert Mathieu.

hj: Malgré ton sac caractere Hazel je t'adore.

HJ : Sale caractère ? Meuh non enfin

Hazel arqua un sourcil.
Oh mais je vous remercie de ne pas vous défiler, Miss Black... Quel honneur me faites vous là...
Quant aux sanctions, je me demande encore de quelle manière je vais vous punir. Un devoir supplémentaire ? Une retenue ? Il semble que vous soyez déjà plus que familière de ce genre de pratiques, je me trompe ?
Elle dévisagea Angélique avec plus de froideur.
Peut-être pourriez-vous commencer par me dire à quoi vous pensiez, ou à qui ? Qui peut avoir une telle importance pour vous, au point de vous amener à bafouer le respect le plus élémentaire ?

hj: Béééé Mais si

hj: Levant la tête Angélique évita le regard du professeur, sachant qu'il n'y avait que son regard qui poussait trahirs la détresse qu'elle éprouvait.

-La mort de mon frère professeur.

Pronnoncent ses mots Angélique sentit son coeur se serrer, elle n'arrivait pas a le croire encore.

Hazel laissa passer quelques secondes. Lorsqu'elle reprit, sa voix s'était faite plus dure.
Je ne vois pas en quoi cela pourrait être une excuse, Miss.
Ne vous a-t'on pas appris la nécessité de se détacher de ce genre de considérations ? La puissance, la vraie puissance, est à ce prix.

Angélique avait assez qu'ont lui disse cela, quand il ne s'agissait pas de Rogue s'était un autre professeur, mais que ce que la puissance pouvait avoir de si attirant, si avoir la mort des etre les plus cher au coeur était le prix de la puissance alors Angélique n'en voulait pas, comment pouvait ton vouloir le pouvoir sans l'amour.

-Si professeur.

Il semble que vous ne fassiez pas très bon usage de ce qui vous a été enseigné, Miss... Mais, venant de vous, est-il encore permis de s'en étonner ?
Hazel désigna la chaise près d'Angélique et dit, impérieuxe :
Asseyez-vous. Vous allez faire le devoir que je vais vous donner ici même. Je déciderai ensuite de donner suite ou non à votre sanction.
Elle sortit un parchemin de l'un des nombreux tiroirs de son bureau, le tapota doucement avec sa baguette magique et le tendit à son élève.

Citation :

Vous analyserez en quoi l'apitoiement ou la tristesse passive constituent une marque de faiblesse significative, bien que répandue. Vous démontrerez, en prenant l’exemple de la mort d’un proche, l’insignifiance de ce type d’événements.

Hazel parcourut rapidement le texte d'Angélique.
Le moins que l'on puisse dire est que cela est concis, Miss.
Maintenant, filez et que je ne vous revois plus avant mon prochain cours. J'informerai votre directrice de maison de tout cela, bien entendu.
La fixant une dernière fois, elle ajouta :
Et puisque vous êtes si persuadée que la mort d'un être proche "montre un signe de faiblesse que ne doivent avoir que les Sang-de-Bourbe et les moldus", que je ne vous surprenne pas d'ici là en train de vous adonner à de risibles pratiques d'auto-apitoiement... Est-ce bien clair ?

Ce levant Angélique écouta le professeur.

-Oui professeur.

Replacant la chaisse a sa place elle souhaita une bonne journée au professeur et sortie du bureau en referment derrière elle.

(Sort)